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ARTS TRANSITIONS ÉCOLOGIES
Publications
2024 Février Roberto Barbanti, Isabelle Ginot, Cécile Sorin, Makis Solomos (eds.), Arts, Ecologies, TransitionsConstructing a Common Vocabulary, Londres, Routledge, février 2024, à paraître, (anglais), 248 p. (ISBN : 9781032596143)
Disponible en février 2024.
decroi
2015 Carmen Pardo (ed.), Art i decreixement / Arte y decrecimiento / Art et décroissance, Girona, Documenta Universitaria, 2015, 194 p. (ISBN : 978-84-9984-321-6)
t.— Les contributions rassemblées dans ce volume rejettent l'idée selon laquelle l'art et l'esthétique seraient des champs de travail clos sur eux-mêmes. Elles s'intéressent en particulier aux questions crises écologique, économique
et sociale, ainsi qu'aux crises de représentation dans lesquelles nous nous trouvons.L’hypothèse de départ consiste à montrer le lien actuel entre l'art et la décroissance. Ce lien nous oblige à repenser certaines pratiques sociales et artistiques qui, souvent, ont été soumises à la logique de ce qu'on appelle l'homo oeconomicus, qui fait de l’économie non pas un moyen, mais le but de sa vie. En ce sens, les textes présentés résonnent avec ce que Serge Latouche exprime comme
la nécessité de décoloniser notre imaginaire. Ce livre, dédié
à notre confrère Rafel Llussà, est un exercice
de décentrement du monde de l'art et de l'économie.
Son objectif de fond est d’ouvrir la voie aux possibles, face
à la passivité et à la résignation d'un imaginaire collectif, souvent pensé comme prédéterminé.
t.— Les contribucions recollides en aquest volum mostren el rebuig a una consideració de l’art i de l’estètica com a camps de treball tancats en si mateixos, i es centren, particularment, en interrogants apareguts a partir de les crisis ecològica, econòmica i social, així com de les crisis de representació en què ens trobem immersos. El punt
de partida és la convicció de mostrar el nexe tant actual com necessari entre art i decreixement. L’establiment d’aquest nexe obliga
a replantejar unes pràctiques socials i artístiques que, sovint, han estat sotmeses a la lògica de l’anomenat homo oeconomicus, que
fa de l’economia no pas un mitjà, sinó la finalitat de la seva vida.
En aquest sentit, els textos que aquí es presenten han estat pensats com un espai de ressonància d’allò que Serge Latouche exposa com
la necessitat de descolonització del nostre imaginari. Aquest llibre, dedicat al nostre company Rafel Llussà, és un exercici
de descentrament del món de l’art i de l’economia. El seu objectiu fonamental és obrir les vies d’allò possible davant de la passivitat
i de la resignació d’un imaginari col·lectiu que es pensa, sovint,
com a predeterminat.
musi
2016 Roberto Barbanti, Guillaume Loizillon, Kostas Paparrigopoulos, Carmen Pardo, Makis Solomos (eds.), Musique
et écologies du son. Propositions théoriques
pour une écoute du monde, Paris, L’Harmattan, 2016 (Bilingue français/anglais), 242 p. (ISBN : 978-2-343-08662-0)
t.— Dans la musique récente ainsi que dans les arts sonores, l'émergence du son s'affirme comme nœud de questionnements théoriques et pratiques. Parmi ces questions, plusieurs portent sur l'interaction permanente du son avec ce qui l'entoure: l'espace physique, l'environnement, le milieu, l'auditeur… Ainsi débouche-t-on sur l'écologie du son au sens large du terme « écologie » comme rapport du son à l'oikos, le monde. On pourrait donc demander:quels sont les liens de la musique ou du son avec l'environnement et la nature, avec la société, et, plus généralement, quels sont les liens entre musique-son et monde ?
limite
2016 Roberto Barbanti
et Lorraine Verner (eds.), Les Limites du vivant. À la lisière de l’art,
de la philosophie
et des sciences de la nature, Paris, Éditions Dehors, 2016, 415 p. (ISBN : 978-2-36751-009-5)
t.— Les êtres vivants sont aujourd'hui soumis à un processus de domestication, d'exploitation et de manipulation sans précédent. Repousser les limites du vivant est devenu un enjeu majeur de nos sociétés. Ce projet d'actualiser et de déployer les virtualités des organismes biologiques s'inscrit dans une dynamique plus vaste et totalisante qui vise l'illimitation comme horizon global. A la démesure des ambitions affichées correspond fréquemment un manque de conception d'ensemble qui entraîne des conséquences pour le moins problématiques, voire néfastes.
Une vision trop simpliste véhicule le plus souvent des approches et des modèles réducteurs favorisant la perpétuation d'un processus destructeur qui n'a plus raison d'être Dans une démarche inter et transdisciplinaire, ce livre prend en compte les apports de scientifiques, d'artistes, d'historiens, de philosophes et d'économistes dans une volonté de clarifier les enjeux et les perspectives liés à la question du vivant et de sa complexité.
Trans
2017 Roberto Barbanti, Kostas Paparrigopoulos, Carmen Pardo, Makis Solomos (eds.), Transitions des arts transitions esthétiques, Paris, L’Harmattan, 2017, 272 p. (ISBN : 978-2-343-13256-3)
t.— Cet ouvrage souhaite accompagner certaines évolutions notables qui surviennent actuellement dans le champ des arts (musique et arts sonores, danse, arts plastiques), ainsi que dans le champ des discours théoriques sur l'art qui, récusant l'enfermement de ce dernier dans la sphère du “surplus civilisationnel”, sont à l'écoute de questionnements découlant des crises écologique, économique, sociale, ainsi que de la crise des représentations que nous traversons.
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